À propos des Crimes du futur (2022)
Le prologue de plage et d’épave paraît presque une promesse, revisite le mythe, au soleil hellénique, comme un écho, a contrario, de Chromosome 3 (1979). Lire la suite
À propos des Crimes du futur (2022)
Le prologue de plage et d’épave paraît presque une promesse, revisite le mythe, au soleil hellénique, comme un écho, a contrario, de Chromosome 3 (1979). Lire la suite
À propos de eXistenZ (1999)
« Je m’inquiète beaucoup pour mon corps » : en dépit de la réplique prophétique, refroidissant les « mécaniques » ardeurs de la mimi Allegra Geller, salut à Bruce, le papa de Mission impossible, on sourit souvent en (re)visionnant cette version ludique, sens duel, vocable ad hoc, du sombre Vidéodrome (1983).
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À propos du Festin nu (1991)
Film de fusion, fi de confusion, Le Festin nu fédère un roman de William S. Burroughs, une biographie de Ted Morgan, un bestiaire à la Bosch, une entomologie à la Kafka & Nabokov. Lire la suite
À propos de Crash (1996)
Dans sa fidélité infidèle, Le Festin nu fusionnait le livre homonyme (disparition différenciée de l’article défini en VO) et une biographie de Burroughs rédigée par Ted Morgan. Lire la suite
L’esprit et la lettre, le corps (d’imprimerie) et la traduction (d’un art à l’autre)…
Autrefois scénariste, désormais romancier, adaptateur audacieux et lecteur universitaire, Cronenberg peut s’identifier sans exagération ni médisance en cinéaste littéraire, homme de mots autant que d’images et de sons. Lire la suite
Le doigt sur la gâchette et l’œil (du réalisateur) dans le viseur…
Les armes à feu aux USA ? Une question de droit et un sujet de fait divers. On ignore les termes particuliers de la législation canadienne, mais le motif – graphique et sémantique – revient en leitmotiv chez notre cinéaste. Lire la suite
Périple subjectif dans un parcours et une filmographie…
Voici un cinéaste canadien anglophone, malgré les quelques mots de français dont il ponctue ses interventions en public dans l’Hexagone, où on le traite depuis longtemps déjà, et à juste titre, en auteur, malgré tous ces films sanguinolents, sexuels et pervers des premières années de sa filmographie, qui lui valurent les anathèmes locaux de plusieurs critiques, gay, féministes ou tout simplement de mauvaise foi. Lire la suite