Les Promesses de la lumière

Médailles (en chocolat), hommages (de son vivant) et louanges sélectives : sic transit (intestinal) gloria mundi

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De l’opprobre (combien paraissent lointaines les attaques du journaliste Robert Fulford, pourtant amateur de Stereo et Crimes of the Future, surréalistes, les débats au Parlement du Canada, à la sortie de Frissons, en partie financé par l’argent public, suspecte, la myopie persistante d’un Robin Wood) au plébiscite, de la curée critique à sa reconnaissance, de la fuite (de festival) à la présidence (idem), David Cronenberg parvint, en quarante ans, à se hisser aux sommets de la renommée. Lire la suite

Mutatis mutandis : Un David Cronenberg parmi d’autres

Périple subjectif dans un parcours et une filmographie…

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Voici un cinéaste canadien anglophone, malgré les quelques mots de français dont il ponctue ses interventions en public dans l’Hexagone, où on le traite depuis longtemps déjà, et à juste titre, en auteur, malgré tous ces films sanguinolents, sexuels et pervers des premières années de sa filmographie, qui lui valurent les anathèmes locaux de plusieurs critiques, gay, féministes ou tout simplement de mauvaise foi. Lire la suite