Aborder la musicalité du territoire côtier (côte à côte avec Cronenberg) de Howard Shore…
La cinéphilie mélomane aime à citer des « couples de légende » unissant un compositeur à un réalisateur. Lire la suite
Aborder la musicalité du territoire côtier (côte à côte avec Cronenberg) de Howard Shore…
La cinéphilie mélomane aime à citer des « couples de légende » unissant un compositeur à un réalisateur. Lire la suite
Beauté d’un tandem d’artistes et d’amis…
On découvrit Viggo Mortensen en fauteuil roulant, les cheveux longs et gras, dans L’Impasse de Brian De Palma. Lire la suite
Médailles (en chocolat), hommages (de son vivant) et louanges sélectives : sic transit (intestinal) gloria mundi…
De l’opprobre (combien paraissent lointaines les attaques du journaliste Robert Fulford, pourtant amateur de Stereo et Crimes of the Future, surréalistes, les débats au Parlement du Canada, à la sortie de Frissons, en partie financé par l’argent public, suspecte, la myopie persistante d’un Robin Wood) au plébiscite, de la curée critique à sa reconnaissance, de la fuite (de festival) à la présidence (idem), David Cronenberg parvint, en quarante ans, à se hisser aux sommets de la renommée. Lire la suite
Donner à lire un cinéma « invisible »…
Une filmographie, nul ne l’ignore, ne se compose pas uniquement d’œuvres tournées, enregistrées, sorties en salle, référencées, éditées sur support numérique, souvent avec des suppléments prétendant retracer leur genèse, un peu comme si chaque accouchement se voyait dûment shooté. Lire la suite
Larvatus prodeo, disait Descartes, bien avant la persona (hystérique ou antique) de Bergman…
Protée ou Benway, Cronenberg changea plusieurs fois de peau et de poste, sa carapace de réalisateur ouverte sur la panoplie d’acteur, simple (mortel) rouage essentiel de l’œuvre et non plus son démiurge. Lire la suite
Périple subjectif dans un parcours et une filmographie…
Voici un cinéaste canadien anglophone, malgré les quelques mots de français dont il ponctue ses interventions en public dans l’Hexagone, où on le traite depuis longtemps déjà, et à juste titre, en auteur, malgré tous ces films sanguinolents, sexuels et pervers des premières années de sa filmographie, qui lui valurent les anathèmes locaux de plusieurs critiques, gay, féministes ou tout simplement de mauvaise foi. Lire la suite