Péril en la baignoire…
De quoi parle-t-on dans une baignoire, vide, de surcroît ? Un an après avoir réalisé son premier court métrage, Transfer, le jeune David Cronenberg délivre From the Drain (1967), un film de quatorze minutes voyant la vaste et morne plaine enneigée de son précédent film remplacée par un espace exigu, une salle de bains, dépouillée, réduite au strict minimum. Lire la suite
À propos de M. Butterfly (1993)
Cronenberg admire à juste titre Lawrence d’Arabie (au moins un point commun avec De Palma ou Spielberg) et voici son film le plus leanesque, improbable hybride unissant l’épopée du chevalier gay avec la passion empêchée du Docteur Jivago (l’histoire des deux personnages évoque aussi une Brève rencontre placée sous le signe du bovarysme de La Fille de Ryan). Lire la suite
À propos de A History of Violence (2005)
Voici un film placé (déguisé) sous le signe du simulacre, du dédoublement, de la multiplicité. Lire la suite
Beauté d’un tandem d’artistes et d’amis…
On découvrit Viggo Mortensen en fauteuil roulant, les cheveux longs et gras, dans L’Impasse de Brian De Palma. Lire la suite
Un premier essai raté car familier (ou l’inverse)…
L’incipit à double détente pastiche l’ouverture de Vidéodrome, avant que la coda ne boucle la boucle du doute ontologique (et audiovisuel), à l’heure des simulacres-simulations de Baudrillard. Lire la suite
À propos de Rage (1977)
Ce portrait d’enragés (traduction littérale de Rabid) commence, en quelque sorte, là où finit La Motocyclette (1963) de Mandiargues. Lire la suite
À propos de Frissons (1975)
Cronenberg n’attendit pas Consumés pour faire, de manière populaire, de la « philosophie », pour mettre en scène et en corps des concepts, des notions, des points de vue éthiques. Lire la suite
M. Cronenberg 