Métamorphose(s) des mythes

Osons puiser dans « l’inconscient collectif » (d’un cinéaste), dirait Jung, après avoir donné une bonne fessée à sa masochiste Sabina…

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David Cronenberg participa sans conteste de la « modernité horrifique », au côté, principalement, de George A. Romero (1968, social repère cinéphile), après l’ultime embrasement gothique de la Hammer, revitalisation britannique, puritaine et pulsionnelle, de l’imagerie classique élaborée dans les années (de crise) 30 par la firme Universal. Lire la suite

Chair pour Cronenberg

Plaies, excroissances, mutations… « Long live the new flesh ! »

Vidéodrome (2)

Et si l’on débarrassait Cronenberg de certaines étiquettes (comme le fit aussi Jean-Pascal) ? Si on le déshabillait, pour aller chercher, au-delà des expressions « body horror » ou « horreur intérieure », du nom de l’un des ouvrages qui lui est consacré, ce qui fait l’essence de son œuvre : la chair. Lire la suite